En 1878, le grand chef Ataï fût tué lors de la rébellion de son clan contre l’accaparement des terres par les colonisateurs français. Devenu le symbole de la lutte contre le colonialisme français en Nouvelle-Calédonie, sa tête a été mise à prix avant de devenir propriété de la Société d’Anthropologie de Paris (SAP). Dès les accords de Matignon en 1988, la France a promis le retour du crâne d’Ataï. Toutefois, ce n’est qu’en 2014, après des demandes réitérées, que le crâne fut finalement restitué à ses descendants.
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